La chronique de mars qui traite du livre que Patrick Rambaud a écrit sur Tchouang Tchéou alias Tchouang Tseu.vient de paraître dans " La croisée des routes."
On peut la consulter en suivant le lien habituel : www.croiseedesroutes.com/ puis chroniques puis bibliothèque voyageuse de Georges Bogey
En voici de brefs extraits…
Les élèves de
Confucius disaient de lui : « Le Maître
s’était affranchi de quatre choses ; il était sans idées préconçues, sans
position inflexible, sans certitude dogmatique et sans égocentrisme. » On
peut dire exactement la même chose de Tchouang Tchéou.
En lisant
« Le Maître », on se conforte dans l’idée que chacun, à sa modeste
place, peut, contribuer à rendre les hommes meilleurs et le monde plus vivable.
En écho à ce livre, quatre lignes d’un conte
Lorsque la forêt prit feu et que l’incendie devint titanesque tous
les animaux terrorisés ne songeaient qu’à fuir la forêt. Seul un colibri s’épuisait
à aller chercher avec son minuscule bec quelques gouttes d’eau qu’il jetait sur
le feu. Le lion lui dit que ce qu’il faisait était inutile et absurde. Le colibri
lui répondit : « Je fais ma part. »
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