Nous les avons aperçus aux abords de la gare, au détour d’un couloir,
près des latrines, dans un coin du parking. Les avons-nous vus et
désirions-nous les voir ? Loqueteux, miséreux, silencieux abandonnés,
délaissés, ignorés. Parfois révoltés, parfois résignés, dignes et respectables
toujours. Leur présence nous pose la question de la fraternité. GB
dimanche 30 octobre 2016
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